Nous sommes heureux de voir que Kristen a eu le rôle qu'elle souhaitait avoir dans Lie Down In Darkness !
Voila plus de renseignements :Kristen Stewart fait peut être la une de ce que nous ne commenterons pas, mais l'actrice du haut de ses 22 ans semble décidément engagée a être prise au sérieux en tant qu'actrice : Vulture a entendu en exclusivité que Stewart a décrochée le rôle principale dans une adaptation indie de la nouvelle de William Styron datant de 1951, "Lie Down In Darkness".
Réalisé par Crazy Heart helmer Scott Cooper et mis en scène par dans l'ancienne et cinquentenaire état de Virginia, Lie Down aura Stewart qui aura le rôle de Peyton Loftis. Dans le cadre d'une famille disfonctionnelle et se désintégrant, Peyton est constamment comparée a sa soeur infirme, Maudie, et sa beauté physique fait d'elle l'objet d'une haine jalousive de sa froide mère et la cible de son incestueux, alcoolique et luxurieux père.Le rôle de Peyton avait été convoitée par Jennifer Lawrence, mais elle va passer la plus grande parties de ses prochaines années a filmer des suites.source
Vulture a signalé avoir entendu dire que Kristen Stewart a obtenu le rôle principal, d'un adaptation du roman de William Styron (1951), Lie Down in Darkness (en français: Sur un lit de ténèbres). Le rôle avait été fortement solicité par la star d'Hunger Games, Jennfer Lawrence.
Si le rapport est véridique, se serait un film indépendant très important pour Kristen Stewart. Kristen jouera le rôle de Peyton: Vulture dit:
"Réalisé par le réalisateur de Crazy Heart, Scoot Cooper. Remarqué en Virginie dans les années cinquante, Lie Down in Darkness aura donc pour casting Kristen Stewart dans le rôle de Peyton Loftis. Dans le cadre d'une famille dysfonctionelle est désintégrée, Peyton est constamment comparé à sa sœur infirme, Maudie, et son incroyable beauté physique fait d'elle l'objet de la jalousie de sa mère glaciale, et la cible incestueuse de son père alcoolique."
VERY GOOD NEWS :D
Résumé du livre en plus pour les intéressé(e)s:
L’histoire se déroule dans l’état de Virginie, aux Etats Unis. Alors qu’à l’autre bout du monde la première bombe atomique marquée du sigle US a explosé, l’onde de choc atteint les consciences américaines.
William Styron nous raconte une histoire moderne et à la fois très classique, le récit de la haine et de la culpabilité, où la lassitude d’aimer côtoie la folie et la perdition. C’est une histoire à l’image de ce monde.
En gare de Port Warwick, un père attend la dépouille de sa fille. Quelques années avant, il a déjà porté en terre sa cadette. Sa maîtresse l’accompagne parce que sa femme a refusé de venir avec lui. La solitude est trop grande et il sait qu’il ne pourra pas supporter cette dernière épreuve, l’ultime d’un parcours chaotique et désespérant. Il est ivre, juste un peu plus que d’habitude. Le trajet est long, c’est un chemin de croix trop pénible, qui va de la gare au cimetière en faisant des haltes inopinées, propices à la réminiscence des souvenirs.
Ils sont enchâssés les uns dans les autres par une savante construction où le point de vue est successivement celui du père, fou d’amour et de douleur, de la mère à la haine vissée au corps, mais aussi de la fille morte, et même d’un pasteur, confident de la mère et témoin sidéré des différents évènements familiaux. Le récit est savamment organisé pour montrer la fragilité et la violence des personnages. Le roman s’achève d’ailleurs par la description hallucinante de la folie palpée de l’intérieur.
Ce prodigieux exercice littéraire est un premier roman qui dès sa parution a valu à son auteur l’hommage de ses pairs. Une prouesse technique et inspirée, pleine de maîtrise et d’humanité qui laisse le lecteur admiratif.
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